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  • Photo du rédacteurMarylene Jamaux

Le microbe n’est rien, le terrain est tout !

Dernière mise à jour : 18 oct. 2022


immunité, s'occuper de son terrain


Cette maxime attribuée à Claude Bernard, et que vous avez sûrement déjà entendue, dit tout de la philosophie de la naturopathie : c’est du terrain avant tout, dont il faut se préoccuper.


C’est quoi le terrain ?

Cette notion de terrain, commune aux médecines alternatives, intervient pour spécifier nos qualités et défauts constitutionnels. Couleur des yeux et de la peau, capacités digestives, densité minérale des os et des dents, résistance immunitaire… autant de particularités qui font notre constitution.

Nous ne naissons pas égaux et dès notre arrivée nous présentons des caractéristiques physiques, psychiques, émotionnelles… qui feront nos forces et/ou nos faiblesses. Certaines pourront être transformées, d’autres plus difficilement.

Elles sont un savant mélange entre notre hérédité et notre environnement aussi bien social, éducatif que géographique.

Ainsi, telle personne sait depuis toujours qu’elle ne digère pas l’ail, une autre qu’elle attrape « tout ce qui passe » et telle autre qu’elle est « couche-tard, lève-tard » ou bien l’inverse.


Entretenir le terrain

En naturopathie, cette prise en compte du terrain est fondamentale puisque tout repose sur la prévention. Plus nous renforçons nos points forts, plus nous pallions à nos points faibles, mieux notre corps va fonctionner dans la durée, mieux il va se défendre le moment venu.

Nous parlons donc d’entretenir le terrain. De l’alimentation « équilibrée » en passant par le sport ou la gestion du stress, cela rassemble tout ce que chacun met en place pour garder la forme.

Et quand tout ça ne suffit pas, entretenir son terrain c’est aussi venir spécifiquement renforcer des points particuliers que l’on sait « faibles » dans notre constitution.

Les personnes sujettes à des problématiques saisonnières annuelles ont intérêt à faire des cures en amont, par exemple :

  • de pollen frais et de probiotiques dès le mois d’octobre, en cas de gastro-entérite ou d’infections hivernales récurrentes,


  • de plantes adaptogènes (rodhiole, eleuthérocoque) dès la fin de l’été pour les baisses d’énergie en arrivant à l’automne,


  • en consultant son acupuncteur ou son naturopathe par exemple, dès fin janvier, début février, en cas d’allergies de printemps,


  • de spiruline en fin d’hiver, si l’énergie vient à manquer,


  • de magnésium en cas d’exposition à un stress brutal ou prolongé…



Pour tous !

Une cure d’Oligosol cuivre/or/argent d’octobre à février, ou en cas de « crise sanitaire » à raison d’une ampoule par semaine, viendra stimuler les défenses immunitaires aussi bien des petits (à partir de 6 ans) que des grands.


Le maître mot en naturopathie c’est PREVENIR. C’est donc une habitude à prendre, en fonction de ce que l’on connait de son corps et de son fonctionnement, d’anticiper et de mettre en place ce dont il a besoin. Au besoin, n’hésitez pas à demander conseil.



Bonne prévention !




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